Jacky, Michel, Clitorine et Berk se sont des bébés qui ont vu le jour en 2016. Et, la liste des prénoms étrangers, voire bizarres, envahie la France de plus en plus. Les prochaines années nous réservent certainement leur lot d’inventions onomastiques (c’est comme cela qu’on appelle l’étude des prénoms).
Pour les garçons
Le site Nameberry répertorie les prénoms et surtout leur fréquence. Une bonne façon de prédire ceux qui arrivent, suivant leur augmentation de popularité. Voici le top:
- Kyd. Oui, KYD, pas Kid. Ce qui revient à dire « Bonjour, mon enfant s’appelle Anfant, avec un « a ». » Une vie de calvaire avec le correcteur orthographique…
- Benajah. D’origine biblique, variante de Benjamin. Monsieur et madame « Papenséàsortirlespoubelles » ont un fils…
- Sulien. A l’adolescence, on imagine déjà les « Sulien Gorge » et on a mal pour lui.
- Koa. Oui, Koa. Comme « Koaaaa? Kestudis? » ou « elle fait quoi la grenouille? »
- Gunther. Qui semble hyper normal face aux précédents.
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Et les filles?
Ouf, les choupinettes s’en sortent mieux… Les prénoms dits émergents sont:
- Tatjana (tiens, pas mal ça!)
- Alizeh (« Moih jeh m’appelleh Lolitah… »)
- Tahiti (on espère que le gel douche aura changé de nom d’ici 12 ans)
- Moana (tiens, tiens…)
- Ines: Oh mais c’est joli ça!
